L’école de Francfort présente un paradigme critique. Cette théorie se concentre sur la communication alors il est possible de conclure que son point d’origine est très vaste. Malheureusement, la société de masse ramène avec elle une perte du sens collectif. C'est-à-dire qu’on retrouve de plus en plus une absence de liens entre les gens. Le tout est maintenant retrouvé autour d’objets puisque la société est beaucoup plus matérialiste. En plus, les médias de masse sont mal vus puisqu’ils détruisent la subjectivité. Ceci nous permet de voir à travers le code marchant c’est-à-dire que tout ce qui est pris en compte c’est la marchandise. Alors les médias de masse prennent ce thème dans le but de l’actualiser dans notre société de masse. Comme exemple, l’individu revient de travailleur et s’enferme chez lui pour aller regarder la télévision ou encore clavarder sur l’ordinateur, ce qui élimine tranquillement les liens entre les individus. Au contraire de la théorie présentée par Lazarsfeld, l’école de Francfort affirme que les liens sociaux disparaissent de plus en plus faisant en sorte que le code marchant prend de l’ampleur. Alors, on conclut qu’il y a un haut degré de dépendance par les médias de masse puisque les gens ressentent le besoin d’actualisation par l’entremise du code marchant. D’après Gerbner, nous habitons dans un monde dangereux. La télévision démontre de plus en plus de violence ce qui fait peur aux gens. Souvent, ils ont peur de sortir puisqu’il y a toujours possibilité de violence. Maintenant avec la télévision, il est possible d’ajouter que la violence a toujours existé, mais maintenant on la voit et on la prend en compte.
Dans le texte de Boltanski, nous avons trouvé que son point de vue est très intéressant. Celui-ci stipule que les sciences sociales ont « contribué à vulgariser une représentation du monde dans lequel on peut interpréter les agissements de gens, quels qu’ils soient, quand on a compris qu’ils étaient toujours orientés vers la recherche de satisfaction des intérêts particuliers (…) » (Boltanski, 1990, p. 128). Il souligne ensuite qu’un de ces intérêts le plus importants est souvent le pouvoir (Boltanski, 1990, p. 128). Il dit donc que les interactions entre les hommes peuvent être souvent réduites à des « rapports de force » entre ceux qui possèdent un certain pouvoir et ceux qui n’en ont pas (Boltanski, 1990, p. 129). C’est ce qui nous amène au concept de « sociologie critique » qui doit « durcir la coupure entre faits et valeurs pour maintenir à l’abri de toute entreprise critique (…) un ilot de positivité, sur lequel fonder l’ambition d’un dévoilement radical » (Boltanski, 1990, p. 130). Enfin, il est important de remarquer que la théorie présentée par Boltanski est similaire à celle présentée par l’école de Franfort puisque les deux théories sont des théories critiques.
Dans un autre ordre d’idée, selon le modèle de Horkheimer et Marcuse tout dépend des méthodes et des techniques dans l’accumulation des connaissances selon le modèle du positivisme. Le positivisme peut toujours refuser la validité d’une connaissance d’un monde selon le positivisme. Ceci démontre un contraste très fort par rapport à Karl Popper. La société est faite par des gens qui vivent des expériences, des sentiments ainsi que des émotions. Alors la société est construite. Popper cherchait la neutralité alors il disait qu’il est important de sortir de notre contexte dans le but d’évaluer certaines situations. De son côté, l’école de Francfort ajoute que tout dépend de la connaissance de chaque personne puisque notre vécu est un engagement critique. Il est donc important de regarder le tout avec un œil critique. Ceci est pertinent puisque l’école de Francfort ajoute un point que personne n’avait ajouté avant. Celui que la neutralité n’existe pas. La réalité est concrète et non abstraite. En plus, cette théorie ressemble à celle de Lasswell puisqu’il parle tous deux des effets.
La théorie du positivisme affirme que les connaissances d’un individu sont très importantes. En ce qui concerne Favre et Offerlé, ceux-ci « estimons (estiment) (…) que le bagage cognitif des agents, défini dans sa dimension scolaire, permet (…) d’inférer le savoir pratique, celui qu’il suffit de maîtriser pour tenir son rang dans des situations ou des conversations dites politiques » (Déloye et al., 2002, p. 231). Cela veut aussi dire que selon ces deux auteurs, notre éducation, ou notre savoir scolaire démontrent aussi nos capacités à établir des conversations politiques. Tout comme la théorie du positivisme, cette théorie prend en compte les agents et les institutions importantes qui interfèrent avec la vie d’un individu. Finalement, selon Joignant, « la relation entre compétences (ou incompétence) et le rapport au politique ne se laisse pas comprendre facilement, puisque certaines formes d’incompétence politique peuvent, malgré tout, se traduire dans des rapports « épisodiquement » politisés » (Déloye et al., 2002, p. 249). Selon nous, ce dernier énoncé est un peu moins clair et nous trouvons qu’il est de même, un peu moins crédible.
Max Horkheimer
Marcuse
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