Thursday, 3 November 2011

Systémisme

           Le systémisme débute avec les rapports qui se forment biologiquement entre les cellules. Cette théorie commence à voir comment un organisme arrive à mettre en interaction des cellules différentes. En plus, la théorie du systémisme nous permet d’inclure la notion de fonction. Grâce à la théorie du systémisme, on prend encore en compte le transfert d’information alors il était possible de faire une analyse par rapport à la théorie de l’information de Shannon et Weaver. De plus, nous avons appris que cette théorie se distingue de l’environnement social ce qui permet au système de se refermer sur lui-même tout en recevant l’information provenant de l’extérieur. La notion de l’input et de l’output est de mise puisque tout ce qui entre à l’intérieur du système doit éventuellement en ressortir. Comme exemple, lorsque deux personnes sont en dialogue, ils doivent analyser l’information pour ensuite amener une rétroaction qui apporte quelques modifications. Alors, on peut conclure que le système reçoit de l’information, mais en diffuse aussi pour maintenir son équilibre. Par contre, une des difficultés du système est qu’il prend constamment l’énergie provenant de l’extérieur dans le but de se maintenir. Enfin, Melvin de Fleur, ajoute la notion de rétroaction dans le système de l’environnement social. En plus, il m’a fait remarquer qu’il y a un aspect relationnel c’est-à-dire que le système interagit avec la société. Selon nous, la théorie systémique est très bien développée surtout depuis qu’ils ont ajouté la notion de l’input et de l’output. Il est vrai que l’information qui entre doit un jour en ressortir ce qui rend l’information beaucoup plus enrichissante.

En outre, nous allons discuter de la notion de « socialisation politique » abordée par Déloye, Favre et Offerlé, Gaxie, Ihl et Joignant dans le texte tiré de la Revue française de science politique (Déloye et al., 2002). Tout d’abord, la recherche de Ihl tente de « comprendre (…) les cheminements(,) de ce qui est appréhendé, non comme un processus de « socialisation » mais comme un phénomène de « politisation » » (Déloye et al., 2002, p. 126). Il souligne que si certains groupes d’individus étant nés au même moment avec les mêmes valeurs et attitudes sociétales, que l’on appelle aussi cohortes, existent, c’est parce qu’on « leur confèr(ent) une conscience spécifique » (Déloye et al., 2002, p. 126). Il mentionne aussi l’École behavioraliste qui, elle, s’intéresse aux lieux sociaux où les gens « « apprennent » ce que signifie la politique » (Déloye et al., 2002, p. 126). Enfin, il nous explique que la socialisation politique représente la façon dont le social est attribué à chaque individu (Déloye et al., 2002, p. 128). Il fait aussi référence à une certaine « théorie fonctionnelle de l’intégration » lorsqu’il en parle (Déloye et al., 2002, p. 128). Selon nous, cette théorie présentée est semblable à celle du systémisme puisqu’on parle de petit groupe social. Enfin, cette théorie présente une similarité lorsqu’on parle de la « théorie fonctionnelle de l’intégration » puisqu’elle s’ajoute à celle du systémisme qui lui affirme que l’aspect relationnel est important.


              http://www.w3.org/2003/Talks/0522-wsdl-plh/slide16-0.html     

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