Thursday, 1 December 2011

Watzlawick

Watzlawick présente les cinq axiomes de la communication. En premier lieu, on ne peut pas ne pas communiquer. C’est-à-dire, même si on n’utilise pas le langage verbal on parvient tout de même à communiquer. Par exemple, à l’aide de geste ou d’expression faciale il est quand même possible de faire passer un message. Le deuxième axiome communicationnel de Watzlawick présente la méta-communication. Ceci dit, chaque communication a un contenu et un rapport relationnel. Les signaux échangés et les propositions qui concernent la codification sont ce qui définit les contenus communicationnels. Par la suite vient un troisième axiome soit celui de la séquence de l’interaction. Ce dernier s’explique comme étant un lien presque direct lors d’une fréquence à chaque fois qu’une interaction est de mise. Tout dépend des aspects qu’on cherche à communiquer lors de nos interactions. De plus, il est important d’ajouter la compréhension d’une information puisque grâce à celle-ci il est possible d’analyser la volonté des gens à communiquer. Ensuite, un aspect numérique et analogique de la communication est ajouté comme axiome. Les êtres humains communiquent la langue numérique complexe et puissante, mais elle reste aveugle à la sémantique. Par exemple, il est possible que des machines travaillent pour nous, mais elle demeure toujours aveugle face à l’aspect sémantique. C’est-à-dire ne prend pas compte des aspects culturel et émotionnel aux yeux de l’humanité. Tout compte fait, Watzlawick présente un dernier axiome celui de la symétrie de l’interaction. 

La critique postmoderne et les théories de la planification
Ensuite, nous avions à lire un texte rédigé par Hamel au sujet de la critique postmoderne et des théories de la planification. En fait, dans le texte, on se questionne afin de savoir « (…) jusqu’à quel point le courant communicationnel est-il en mesure de répondre aux critiques formulées par les tenants du postmodernisme à l’endroit des théories de la planification? » (Hamel, 1997, p. 311). On souligne ensuite que les théories de la planification ont été attaquées par les tenants du postmodernisme qui étaient en accord avec les arguments soulevés par les antiplanificateurs, dans les années 1960, en cause de leur impact négatif sur la société (Hamel, 1997, p. 312). En fait, pour répondre à la question posée ci-haut, selon Hamel, « le courant communicationnel n’a pas été en mesure de répondre d’une manière entièrement satisfaisante aux critiques soulevées par les analyses postmodernes au sein des théories de planification » (Hamel, 1997, p. 318). Cette étude démontre qu’il y a une ressemblance avec la théorie de Watzlawick puisque tous les deux ils présentent une théorie moderne. Watzlawick présente de son côté une théorie qui est plutôt moderne, car ils abordent lors d’un axiome, l’aspect numérique versus analogique.      



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